Rien de tel qu’une tasse de café bien chaude au petit déjeuner pour affronter une longue journée de travail. Une substance dont la consommation est souvent proscrite. Il a été récemment révélé, suite à un congrès de gérontologie que la caféine pourrait être un remède contre la maladie d’Alzheimer.

Points sur cette théorie

Pour l’instant, cela reste une théorie. Apparemment, les expériences se sont avérées positives. En administrant l’équivalent de cinq tasses de café à des souris adultes (12 mois), on prévient leurs pertes de mémoire. L’objectif, qui est d’empêcher la formation des dépôts cérébraux a été atteint. Une thérapie réussie sur les souris, mais encore incertaine sur l’organisme humain. Les chercheurs devront encore le démontrer en commençant par la surveillance de la consommation sur dix ans chez 1000 patients. De cette manière, ils progresseront dans leurs recherches. En attendant, il est conseillé d’en boire avec modération.

Avantages de la prise du café

Selon les médecins, moins de cinq tasses par jour suffisent largement. Le café d’un avis médical peut être bénéfique pour l’organisme. En effet, il nous réveille en agissant sur les adénosines. Ces dernières une fois stimulées offrent à la personne ayant pris une tasse plus de concentration. La caféine guérit les migraines en contractant les vaisseaux sanguins. Elle augmente le rythme cardiaque, la tension artérielle pour ceux qui pour des raisons de santé en ont besoin. Elle est aussi efficace contre les problèmes respiratoires, car elle dilate les bronches. Toutefois, l’excès dans la consommation provoque quelques effets secondaires.

 

Inconvénients

Une consommation modérée conforme à la norme prescrite par les médecins laisse toutefois au consommateur quelques inconvénients. En prenant une tasse une heure avant de coucher, la caféine troublera son sommeil en raccourcissant sa durée. De plus, la personne aura des difficultés à s’endormir. Certaines personnes étant habituées à en boire en début de soirée ne rencontrent pas ce genre de problème. Scientifiquement, ce phénomène s’explique par la faculté du cerveau à compenser cette substance en sécrétant quantitativement des hormones de sommeil au moment où la personne se couche.