Formations et labels

En France, on compte 171 formations gratuites, accessibles sans diplômes et labélisées « Grande École du Numérique » par le Ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Mais ce sont bien d’autres centaines d’autres formations qui existent, si l’on compte les écoles privées et centres de formation professionnelle. Autre indice qui tend à prouvé que le secteur du numérique est aujourd’hui la meilleure voie pour trouver un emploi rapidement à la sortie de l’école : la naissance du label « French Tech » et le combat mené par les grandes et moyennes villes de France pour obtenir le fameux sésame.

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Un secteur dynamique

Il faut dire aussi que le secteur est toujours en mouvement et en essor. De nouvelles formations, de nouveaux métiers sont créés chaque année, pour correspondre aux demandes et aux besoins des nouvelles technologies, et surtout aux nouvelles façons de communiquer et de consommer. Côté emploi, le numérique booste les recrutements, même dans les secteurs un peu à la traine comme la communication. Et si on ne prend que les métiers les plus techniques, comme celui de développeur front-end / back-end ou encore celui de Data Scientist, c’est simple : ces métiers ne connaissent pas la crise !

Un secteur qui attire les femmes aussi

clbkpmuvaaeu1sdLes femmes ne sont pas en reste. Loin de l’image du Geek-célibataire-pas-très-social, le jeune étudiant en numérique, qu’il soit technique ou dans la com’, se conjugue aussi au féminin. Si les femmes ont toujours été majoritaires dans les études d’infoCom, et que la tendance se retrouve également dans les nouvelles filières numériques, elles sont aussi de plus en plus nombreuses à se lancer en école de jeux vidéo,  d’ingénierie,  d’informatique, de graphisme et d’animation 3D, etc.
Preuve que la tendance est loin d’être minoritaire, Mattel, fabricant de la célèbre Barbie, a sortie récemment une poupée « développeuse de jeux vidéo », qui vient accompagner sur les rayons les Barbie vétérinaire et autres Barbie à la plage : 1 pour l’avenir, 0 pour le sexisme !